Agent Carter - Saison 1 (Disney+)
Le Ven 03 juil 2020
- Disney+
Des années avant que l’Agent Coulson et son équipe du S.H.I.E.L.D. jurent d’aider ceux qui ne peuvent se protéger contre des menaces qu’ils ne peuvent même pas concevoir, il y avait l’Agent Peggy Carter, qui a fait le même serment, mais a vécu à une époque où les femmes ne sont pas reconnues comme étant aussi intelligentes ou dures que leurs homologues masculins. Or, personne ne devrait sous-estimer Peggy.
Nous sommes en 1946 et la paix a porté un coup rude à Peggy Carter, qui se retrouve marginalisée quand les hommes rentrent au pays après la guerre. Travaillant pour l’organisation secrète SSR (Section Scientifique de Réserve), Peggy se retrouve coincée à exécuter des tâches administratives, alors qu’elle devrait être sur le terrain ; mettant à profit ses vastes compétences pour damner le pion aux méchants. Elle tente également de trouver sa voie en tant que femme seule en Amérique, après la perte de l’amour de sa vie, Steve Rogers – alias Captain America.
Quand une vieille connaissance, Howard Stark, est accusée d’avoir vendu ses armes les plus meurtrières aux plus offrants, il contacte Peggy – la seule personne en qui il peut avoir confiance – afin qu’elle trouve les responsables, récupère les armes et lave son nom. Il met son majordome, Edwin Jarvis, à son entière disposition afin qu’il l’aide en cas de besoin, alors qu’elle enquête et traque ceux qui sont derrière la libération de ces armes de destruction massive. Mais Jarvis, qui est une créature d’habitudes et qui se tient à une routine quotidienne rigide, va devoir opérer des changements majeurs dans sa vie s’il souhaite suivre Peggy.
Si elle est surprise lors de ces missions secrètes pour le compte de Stark, Peggy pourrait être considérée comme une traîtresse et passer le reste de ses jours en prison – ou pire. Et alors qu’elle plonge plus profondément dans son enquête, elle pourrait découvrir que ceux pour qui elle travaille ne sont pas ce qu’ils paraissent, et elle pourrait même commencer à se demander si Stark est aussi innocent qu’il le prétend.
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